A l'origine conçu comme complément contrasté à la pièce Cyberchrist, un solo explorant l’artifice et le féminin, dans une esthétique résolument camp, multipliant les signes hétéroclites (évocations du glam rock, des pin up des années cinquante, des geishas…), et basculant finalement dans le rejet des artifices – et l’animalité. Si Cyberchrist est une lente progression vers la mort, Pin Up serait plutôt de l’ordre d’une montée fulgurante vers la folie.
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